- biunivoque
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biunivoque [ biynivɔk ] adj. ♦ Math., log. Application, correspondance biunivoque entre deux ensembles, telle qu'un élément du premier ensemble correspond à un seul élément du second, et réciproquement. ⇒ bijectif.
● biunivoque adjectif Correspondance biunivoque, synonyme de application bijective. ● biunivoque (expressions) adjectif Correspondance biunivoque, synonyme de application bijective. ● biunivoque (synonymes) adjectif Correspondance biunivoqueSynonymes :biunivoqueadj. MATH Correspondance biunivoque, telle qu'à un élément d'un premier ensemble correspond un seul élément d'un second ensemble et réciproquement.⇒BIUNIVOQUE, adj.MATH. ,,Se dit d'une correspondance qui d'un élément d'un premier ensemble fait passer à un seul élément d'un second, et réciproquement`` (UV.-CHAPMAN 1956). Application, correspondance biunivoque :• ... il [Galilée] observe que l'application (...) établit une correspondance biunivoque entre les entiers naturels et leurs carrés et par suite que l'axiome « le tout est plus grand que la partie » ne saurait s'appliquer aux ensembles infinis...BOURBAKI, Éléments d'hist., des math., 1960, p. 41.— LOG. [En parlant d'une correspondance ou d'une relation] Qui est à la fois univoque et réciproque.Rem. On rencontre dans la docum. l'adv. biunivoquement, rare. De manière biunivoque (cf. L. DE BROGLIE, Bases de l'interprétation actuelle de la mécan. ondulatoire, 1963, p. 35).biunivoque [biynivɔk] adj.ÉTYM. 1956; de bi-, et univoque.❖1 Math. Vieilli. || Application ou correspondance biunivoque : application bijective. ⇒ Bijection. || Une correspondance biunivoque entre deux ensembles est une application telle que tout élément de l'ensemble d'arrivée soit l'image d'un élément unique de l'ensemble de départ.2 Didact. || Relation, correspondance biunivoque (entre deux groupes de données) : relation terme à terme qui à chaque élément du premier groupe associe un élément du second, et réciproquement. || « En français, la correspondance entre les phonèmes et les graphèmes n'est pas biunivoque, c'est-à-dire qu'il manquait des lettres pour transcrire des sons, mais que d'autre part nous avions trop de lettres pour d'autres sons » (la Recherche, no 39, nov. 1973).
].Encyclopédie Universelle. 2012.
